OPINEL cuir

Je me suis décidé de faire le pas et d'acheter un exemplaire du nouvel Opinel cuir produit en série limitée.

N'étant disponible qu'au Musée et en Relais Opinel (c'est l'amateur qui doit aller vers le couteau, pas possible de l'acheter par correspondance), c'est un ami coutelier, en vacances en Savoie, qui a fait l'achat pour moi.

Je joins quelques photos.

Beau produit.










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Presque 150 euros pour un manche gainé de cuir et un n° 8 , on peut sans problème dire que la société Opinel exploite à fond le penchant de ses amateurs pour les séries limitées. 

Et c'est donc tant mieux pour Opinel si des acheteurs se font prendre à ce piège. 

Ce n'est pas une attaque personnelle Etienne Jean, mais perdre 150 euros sur ce modèle au lieu de rajouter cette somme pour l'achat d'un beau couteau d'artisan, me paraît un peu ridicule. C'est un avis perso, ni plus ni moins.

La marque Leica (en photographie) est ou était coutumière du fait en multipliant les séries spéciales (esthétiquement parlant), mais Leitz était une entreprise vendant ses appareils à des personnes fortunées qui pouvaient se permettre de gâcher un peu de "pognon". Opinel est diamétralement opposé et se place par ses produits dans une gamme de prix très accessible habituellement. Ils disjonctent et visent la clientèle sensible au "modèle unique numéroté"......cela va bien dans l'esprit du temps.

ça c'est pour le coup de gueule; côté originalité c'est nul . C'est juste un gainage sur un manche en bois.
Si on souhaite acquérir un couteau original, il faut s'adresser à la coutellerie de monsieur Devige à Nontron qui nous sort un Périgord, avec liner lock beau comme un couteau Perceval Le Français et dont le manche est en cuir : plusieurs couches de cuir qui assurent rigidité et solidité (pas de squelette en bois ou autre matière)

L'idée...pourquoi pas, si on aime...mais à 60 euros maxi, à 150euros c'est du délire!!!

A ce prix là, Opi ou Michel Monlahuc sont capables de vous faire de belles choses.
En ce qui concerne le Leica, il n'était pas vraiment destiné aux rupins mais plutôt aux professionnels.

Monsieur Radounaud, je parle des Leica et de la politique commercial de Leitz d'après guerre. Le sujet n'est pas le Leica des années 25.

Jette un oeil sur les séries spéciales, par exemple des M6 .

Je sais que je suis très vieux.
Pour moi les Leica, et j'en ai eu deux ( M2 et M3), ont cessés de m'intéresser avec l'apparition de la couleur et à fortiori du numérique.
Julien Clergue, Jean Loup Sieff, Henri Cartier Bresson, j'en passe et des meilleurs, n'auraient jamais utilisé autre chose.

Pourquoi?

Un piqué unique
Une absence de vignetage, même à forte ouverture
Une mise au point d'une extrême précision
Un boîtier plus costaud qu'un Sherman

Les bobos allaient plutôt vers l'Hasselblad, par ailleurs un excellent appareil.

Il ne reste plus, à l'heure actuelle, que les optiques.
Quant aux M6, est-ce encore des Leica?

Je vous comprends.

J'ai assez bien réfléchi avant de "passer le pas".

Pour changer un peu du Laguiole et passionné aussi de l'Opinel, j'ai acheté.

J'avais un peu d'appréhension pour la finition qui, ma fois, est satisfaisante.

Avant d'acheter, j'avais parcouru nombres de forums qui soulignaient le prix démesuré de l'objet.

Surtout que dans l'histoire, l'Opinel est le couteau de "monsieur tout le monde", le couteau au prix démocratique par excellence; comme l'était, à son origine, le Laguiole.

Ne te tracasse pas, tontondédé  , j'accepte ton point de vue.

J'aurais pu ne rien en dire, ne rien poster au sujet de mon Opinel cuir.

J'en possède déjà un, fait par un bourrelier (un n°8 tradition habillé de cuir).

Je pense que la difficulté du travail d'habillage du manche fait que le prix soit si élevé.

Celui que j'ai depuis quelques années m'avait coûté près de 100 euro, sachant que j'avais apporté le couteau, que le bourrelier avait utiliser des restes de cuir et le résultat est moins bien fini mais bien tout de même.

N'hésitez pas à poster vos avis.

Bien à tous.



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Au sujet du Leica (le papa d'Anne Frank, Otto, en possédait un), mon frère en possède un lui aussi et il fait de très belles photos.

Précision: c'est un appareil Leica numérique. (Leica V-LUX 1).

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Julien Clergue, Jean Loup Sieff, Henri Cartier Bresson, j'en passe et des meilleurs, n'auraient jamais utilisé autre chose.

Là tu ne cites que des artistes photographes qui, de plus, n'ont pas travaillé uniquement au Leica. Par exemple Clergue a travaillé au Semflex, au Polaroid...

On peux citer également Ronis qui a bossé au Rolleiflex, au Foca, et avec des boîtiers reflex Pentax dans ses dernières années (Sieff aussi a utilisé du Pentax). 

Le "jamais autre chose" est très exagéré : peut-être le soleil à 50km au nord de Nontron !

Si on prend les photographes de presse, la majorité travaillait au moyen format : speed Graphic, Rolleiflex, Blad en studio...

Si tu veux trouver 100% des pros travaillant au Leica il faut aller dans la Wermacht pour trouver des soldats photographes professionnels (ayant le statut d'officier tout en étant homme du rang) et que l'OKW dotait de boîtiers et d'optiques Leitz (c'était des Leica II équipés d'optique à vis en 39mm - pas comme tes M qui ont des optiques à baïonnette)

Je pense que nous sommes en train de polluer le sujet initial.
Mais cette discussion au sujet de la photo mériterait l'ouverture d'un titre. 
Si le grand chef veut bien déplacer.
Dans ta dernière intervention, il y a du vrai (un peu) et beaucoup de mauvaise foi.
As-tu vu un seul photographe sérieux faire une épreuve définitive avec un Polaroïd?
C'est un outil très utile pour affiner le cadre, la profondeur de champ et la luminosité dont se servent tous les photographes (de mode notamment). Après examen, les clichés partent à la poubelle.

Ok pour un sujet annexe si le chef veut bien .